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Bessé-sur-braye arjowiggins: la contre-attaque des avocats des salariés
Source: lemainelibre.fr publié le 0/04/2019
Les avocats des salariés de l'usine de Bessé-sur-Braye passent à la contre-attaque.
20 M€ en question
En cause, des mouvements de fonds qui seraient intervenus au bénéfice de la société Antalis et de la société Arjowiggins Sourcing, pour un montant total supérieur à 20 millions d'euros.
"Pillage organisé"
Les avocats qualifient cette pratique de « pillage organisé de la trésorerie des sociétés Arjowiggins papiers couchés et Arjowiggins Le Bourray ».
Ce paiement, s'il a eu lieu, aurait « irrémédiablement compromis les chances de trouver un repreneur pour l'ensemble des activités françaises d'Arjowiggins graphic ».
Me Thomas Hollande et Me Justine Candat mettent en demeure Pascal Lebard de contribuer « dans les dix jours » au financement des plans de sauvegarde des deux usines sarthoises « à hauteur des mouvements de fonds » qui seraient intervenus au cours de la période suspecte.
Ils envisagent de porter l'affaire devant le tribunal.
Dix jours après la liquidation du groupe Arjowiggins sans reprise de l'usine de Bessé-sur-Braye, Me Thomas Hollande et Me Justine Candat mettent en demeure Pascal Lebard, le Pdg du groupe Sequana, maison-mère d'Arjowiggins.
En cause, des mouvements de fonds qui seraient intervenus au bénéfice de la société Antalis et de la société Arjowiggins Sourcing, pour un montant total supérieur à 20 millions d'euros.
Or, le code de commerce interdit ce type de mouvements lorsque « ceux qui ont traité avec le débiteur ont eu connaissance de la cessation des paiements ».
Les avocats qualifient cette pratique de « pillage organisé de la trésorerie des sociétés Arjowiggins papiers couchés et Arjowiggins Le Bourray ».
Ce paiement, s'il a eu lieu, aurait « irrémédiablement compromis les chances de trouver un repreneur pour l'ensemble des activités françaises d'Arjowiggins graphic ».
Me Thomas Hollande et Me Justine Candat mettent en demeure Pascal Lebard de contribuer « dans les dix jours » au financement des plans de sauvegarde des deux usines sarthoises « à hauteur des mouvements de fonds » qui seraient intervenus au cours de la période suspecte.
Ils envisagent de porter l'affaire devant le tribunal.